Rouler sans gants homologués, c’est s’exposer à 1) des blessures graves en cas de chute, 2) une amende salée, 3) un retrait de point. Encore faut-il trouver la paire idéale. Alors on l’a fait pour toi. On a testé, comparé et compilé les meilleurs gants scooter homologués de 2025. La raison ? Gianni Barlot t’explique dans notre guide complet ↓
Top 5 des gants scooter homologués
L’autre soir sur le périphérique, j’ai vu un motard faire du wheeling avec des gants troués, non homologués, le genre de matériel qu’on hésiterait à utiliser pour repeindre une barrière ! Perso, tu veux pas finir avec les phalanges râpées ou passer trois plombes à chercher la bonne taille dans une boutique qui sent la sueur? Écoute mon palmarès, validé par mes propres gamelles et celles de mes potes. Ces 5 modèles sortent du lot : normés EN 13594:2015, testés par les warriors de l’asphalte urbain… Pas par ces génies du marketing qui n’ont jamais pris une bosse sous la pluie!
TOP 5 – Fiches express (modèle, prix, fort/faible)
- Furygan Jet D3O – ~45€ – Renforts D3O® partout, top confort tactile – Manque d’isolation l’hiver
- Alpinestars SMX-1 Air v2 – ~60€ – Aération béton, coques rigides bien placées – Moins chaud sous la flotte
- Bering Lady KX06 (spécial petites mains) – ~52€ – Coupe parfaite urbaine, paume cuir souple – Peu de choix coloris
- Dafy All One Stretch Evo – ~38€ – Prix défiant toute logique, coque + renfort paume OK – Usure rapide si usage intensif
- IXON RS Rallye HP – ~65€ – Tactile écran nickel, vraie souplesse et grip poignée – Serrage perfectible (auto-agrippant faiblard)
À retenir : Ne jamais descendre en dessous de la norme EN 13594:2015 et privilégier des gants avec un minimum de renforts. Pour un usage urbain ou quotidien, pensez à l’ergonomie, au serrage auto-agrippant et à la compatibilité tactile.
Mini check-list pour choisir le bon gant :
- Présence renfort D3O® ou coque rigide métacarpe
- Paume cuir ou textile technique renforcé (pas du simili)
- Serrage poignet solide (auto-agrippant ou velcro épais)
- Compatibilité tactile smartphone obligatoire en ville
- Testé utilisateur réel (pas juste fiche produit)

Tableau comparatif rapide des 5 meilleurs gants scooter homologués
Modèle | Norme EN 13594:2015 | Renforts | Ergonomie | Prix |
---|---|---|---|---|
Furygan Jet D3O | Oui | D3O®, paume | Léger, flexible | ~45 € |
Alpinestars SMX-1 Air v2 | Oui | Coques rigides | Ultra respirant | ~60 € |
Bering Lady KX06 | Oui | Paume cuir | Adapté petites mains | ~52 € |
Dafy All One Stretch Evo | Oui | Coque + paume | Facile à enfiler | ~38 € |
IXON RS Rallye HP | Oui | Soufflets + grip | Tactile écran polyvalent | ~65 € |
Pourquoi le port de gants homologués n’est pas une option
L’autre soir sur le périphérique, j’ai croisé un motard qui pensait que ses gants en tricot suffiraient à le protéger en cas de chute. Sérieux, il savait même pas ce que c’est qu’une vraie homologation ! Alors on va remettre les points sur les i :
Norme EN 13594 : 2015 décryptée
La norme EN 13594 : 2015, c’est pas juste un tampon sur l’étiquette pour faire joli ! Elle impose des tests bien sévères sur chaque gant :
- Résistance à l’abrasion (paume surtout : là où tu t’étales direct)
- Résistance à la coupure (la moindre glissade et c’est la viande qui prend)
- Résistance à la déchirure et éclatement (tu veux pas que ton gant s’ouvre comme une boîte de sardines)
- Protection des métacarpes (coques ou inserts obligatoires, finis les doigts en allumettes après un crash)
- Ergonomie réelle (tactile, serrage, maintien : faut pouvoir freiner sec sous la flotte sans vriller)
Perso, ces génies du marketing te parlent juste look et style… mais dans leurs labos en carton, jamais ils n’ont fait tomber un scoot pour tester la vraie résistance !
Ces normes ne sont pas un gadget : c’est votre peau qui est en jeu.
Rôle des EPI (paume, métacarpes, coques)
Les EPI de qualité intègrent aujourd’hui des renforts D3O® (un matériau intelligent : souple au toucher, mais dur comme le béton en cas d’impact), des coques rigides sur les métacarpes et une mousse dense pour absorber les chocs. Si t’as déjà ramassé ton engin à pleine bourre, tu sais que c’est là que tout se joue ! Les protections paumes évitent les pizzas humaines. Les coques rigides prennent pour toi quand t’es sur le bitume. Perso… j’ai eu droit au combo brûlure-fracture à cause d’un gant low cost – depuis, plus jamais je fais confiance aux modèles bricolés.
Risques encourus sans homologation
Tu fais l’impasse sur la norme ? Prépare-toi :
- Coupures profondes (verre pilé façon périph’)
- Brûlures de glisse jusqu’à l’os
- Fractures nettes des métacarpes et phalanges
L’autre soir sur le périphérique, j’ai vu un jeune tomber avec des gants sans marque. Résultat ? Main gauche en mode steak tartare, plus deux mois d’arrêt. Allez hop, t’as pigé l’idée : sans matos homologué, t’as autant de chance que tes doigts repartent entiers qu’un scoot chinois fasse le Dakar !
Comment choisir ses gants scooter : la check-list du bricolo urbain
L’autre soir sur le périphérique, j’ai vu un motard avec des gants KSK tout neufs, mais complètement trempés et les doigts gelés. Tu veux pas finir comme lui ? Voici la vraie méthode du bricolo urbain pour choisir :
Choisir le bon matériau : cuir pleine fleur VS textile technique VS Gore-Tex
Perso, le cuir pleine fleur, c’est la base pour la résistance à l’abrasion. Rien ne rivalise – mais il craint la flotte, même avec des traitements KSK ou UM (y en a qui te vendent l’hydrofuge du siècle… ça dure trois sorties max !). Le textile technique, lui, ramène de la légèreté et sèche vite, mais côté protection pure ? Faut viser les renforts partout sinon tu finis en carpaccio.
Gore-Tex ? Là on cause sérieux : étanchéité à toute épreuve et respirabilité béton. Testé sous la drache mi-décembre, pas eu une goutte qui passe. Par contre, bien mater où sont placées les membranes : y a trop de modèles où le dos ventile mais la paume finit moite. Allez hop, retiens ça :
- Cuir = ultra costaud mais attention sous l’averse
- Textile = confort/poids, à renforcer obligatoirement
- Gore-Tex = combo sec/respirant pour rouler toute l’année

Vérifier les protections : D3O®, coques & paume – tester soi-même c’est mieux !
L’autre soir sur le périph… j’ai filé chez un pote mécano avec mes nouveaux gants dotés de mousse D3O®. Si t’appuies fort dessus en atelier, tu piges direct la magie du truc : hyper souple au repos, dur instantanément quand tu balances un coup sec dessus ! Les coques rigides sur les métacarpes aussi : faut qu’elles recouvrent bien chaque os (pas juste une déco cheap collée sur le dos). Pour tester : tape ta paume équipée contre un établi – sens si l’onde de choc traverse ou si c’est absorbé net.
Évaluer le confort et l’ergonomie : doublure thermique, grip auto-agrippant et sensibilité tactile
La doublure thermique ? Essentiel dès que ça caille ! Les meilleurs mixent polaire fine et membrane coupe-vent. Sur certains modèles hiver (genre Bering), t’as vraiment l’impression de piloter sous ta couette. Mais attention au serrage au poignet : auto-agrippant épais obligatoire sinon gare à la manche qui baille dès 90 km/h… Niveau grip, privilégie les inserts caoutchouc (pas juste un bout de tissu cousu à l’arrache), et côté tactile écran ? Si tu peux pas manipuler ton GPS sans enlever ton gant… change de modèle fissa ! Perso – y a rien de plus relou qu’un gant qui glisse sur les poignées ou t’empêche d’utiliser ton smartphone au feu rouge.
Gants par saison et usage : été, mi-saison, hiver
L’autre soir sur le périph… j’ai vu un gars en train de fumer dans sa bulle avec des moufles d’hiver alors qu’on tapait 32°C à l’ombre. Résultat ? Mains moites façon lavabo, plus aucune sensation sur le frein. Allez hop : choisis tes gants selon la saison, sinon tu vas sentir la différence… pas qu’un peu !
Gants été : respirabilité et légèreté
Pour l’été, laisse tomber les gants épais : il te faut du mesh ouvert partout et de la micro-perforation à gogo. Perso, j’enfile jamais autre chose quand c’est la canicule – sinon c’est sauna assuré dès trois feux rouges.
- Furygan Jet Evo II Mesh – Ventilation totale (mesh intégral dos/main), paume cuir pour survivre à la glissade – ~39€
- IXS RS Airstream 3.0 – Perforation laser + inserts mesh, ajustement précis – ~45€
À retenir en été :
- Mesh bien ouvert = séchage express et doigts au frais
- Paume cuir = sécurité minimale même sous 35°C
- Serrage poignet simple (sinon tu te noies dans ta sueur)
Gants mi-saison : compromis thermique et protection
L’autre matin sur le périph… bruine sournoise, 8h tapantes, j’avais les mains au sec grâce à mes gants Gore-Tex mi-saison alors que tous les scooters autour se secouaient les paluches sous la flotte. Ici, le mot-clé : polyvalence.
Des modèles Gore-Tex ou membrane fine protègent contre l’humidité sans transformer ta main en cocotte-minute. Les renforts restent obligatoires (D3O® ou coques).
- Coupe-vent réel et membrane hydrophile = fini les doigts trempés aux embouteillages !
- Doublure légère pour garder du feeling sur frein/embrayage.
- Serrage auto-agrippant adaptable par-dessus ou sous la manche.

Gants hiver : isolation maximale et étanchéité
Quand ça pèle sévère au petit matin, oublie tout sauf les gants doublés Thinsulate® ou équivalent : là tu passes l’hiver sans perdre tes phalanges !
Les meilleurs combos : paume cuir renforcé + membrane étanche (genre Hipora® ou Gore-Tex) + doublure polaire épaisse.
- Isolation multicouche pour résister même sous zéro degré.
- Manchette longue qui couvre bien le poignet et bloque le vent.
- Tactile parfois moins précis mais sécurité thermique imbattable.
Marques et modèles phares : du Dafy Moto à Alpinestars
L’autre soir sur le périphérique, un ami est arrivé avec des gants "Dafy Moto" flambant neufs, tandis qu’un autre exhibait fièrement ses Furygan comme s’il roulait en Grand Prix. Eh ben, franchement : c’est pas qu’une question de logo, c’est dans les détails que tu crées la différence entre de vrais gants urbains et du matos pour touristes.
Dafy Moto et Scooteo : rapport qualité/prix
Perso, si t’as pas envie de vendre un rein pour t’équiper, Dafy Moto balance des modèles comme le "All One Stretch Evo" ou "City Road" — construction honnête, renforts paume basiques, serrage velcro costaud. Le cuir ou textile fait le job en ville. Scooteo, eux, tapent fort sur les prix mais faut mater où sont placés les coques : parfois trop minimalistes à mon goût. Les deux font le taf pour le quotidien urbain sans te ruiner (30-45€), mais oublie les gros crashs : protection limitée, confort juste correct. Perso… si tu roules tous les jours sous la pluie/de nuit/freinage d’urgence ? Vise plus haut.
Alpinestars, Furygan, Bering : haut de gamme
Ici c’est artillerie lourde ! Alpinestars sort des innovations genre inserts Airflow et paume en cuir digital ; ergonomie millimétrée et serrages velcro triples. Furygan balance du D3O® sur tout le dos de la main et paumes – retour terrain ? Incroyable en absorption lors d’une glissade (testé !). Bering joue la sécurité avec doublures Thermo-Alu® et traitement waterproof longue durée. Ces marques n’hésitent pas à intégrer tactile écran compatible ET grip pro anti-dérapant ; elles pensent au vrai motard urbain qui veut pas finir avec les doigts éclatés ou congelés.
Alternatives pas chères : Cdiscount, Speedway
Allez hop, parlons franchement : sur Cdiscount ou chez Speedway, tu trouves de l’offre à 20 balles… mais faut être clair : souvent c’est simili-cuir douteux, coutures bâclées, coques fantômes collées à l’arrache. J’ai vu des gants "EPI" où l’autocollant CE tenait mieux que les protections ! Perso — évite ces modèles pourris sauf usage ultra-occasionnel ou dépannage. La sécurité low cost ça finit trop souvent chez le toubib…
Les faux EPI donnent une fausse impression de sécurité : vos mains valent bien plus qu’un repas bon marché.
Où trouver ses gants homologués : en ligne et en boutique
L’autre soir sur le périphérique, j’ai croisé un motard qui exhibait des gants estampillés "CE", achetés sur un site douteux. Amazon, Cdiscount & cie ? Pratique pour le retour, souvent du stock, mais t’as aucun vrai contrôle sur ce que tu reçois.
Perso, je me méfie de la contrefaçon ou des packs “multi-tailles” à 12 balles… Mieux vaut checker si le vendeur est certifié et zieuter les vraies étiquettes de norme à réception !
Marketplaces vs magasins physiques
- Amazon / Cdiscount : Retour facile, choix large, prix agressifs. Mais niveau traçabilité ? Bof… T’as parfois du faux EPI qui circule ou des descriptifs limite.
- Magasins spécialisés (Dafy, Feu Vert, Classic Ride…) : Là tu t’équipes avec conseils réels, tu peux tester sur place – sentir la paume, vérifier coutures et serrage.
Rien ne remplace un essayage en magasin pour vérifier que le gant ne pince pas et que la coque protège bien les métacarpes.
Tips Gianni pour un essayage réussi
Perso : garde toujours 1 cm entre bout du gant et doigts tendus (ça gonfle quand t’enchaînes les bornes). Cintrage au poignet obligatoire : plie et serre plusieurs fois pour mater la liberté de mouvement. Bouge tes doigts façon Ninja – si ça tire au niveau des phalanges ou que t’as l’impression de manipuler une patate chaude, change direct !
Mini check-list Gianni au shop :
- Norme EN 13594 cousue/gravée (pas autocollant)
- Serrage auto-agrippant solide testé sur place
- Ressenti au frein/poignée OK dès l’essayage
- Droit au retour d’au moins 14 jours garanti
Conclusion : roule en toute sérénité avec des gants qui tiennent la route
L’autre soir sur le périphérique, j’ai encore vu un motard rouler les doigts nus sous la pluie, ignorant visiblement les risques et les urgences médicales. Retiens bien : les gants pas cher, c’est du papier à cigarette (ta main part en lambeaux à la première glissade), seul un motard qui a déjà ramassé son scoot pige l’importance du D3O®, et le confort tactile, si tu maîtrises pas ton frein t’es mort. Perso, j’te le dis direct : vise toujours le label EN 13594 cousu, essaye AVANT d’acheter (pas juste au pif sur photo floue) et investis dans une vraie paire. Ta survie urbaine commence par dix doigts entiers – allez hop, choisis malin et enfile-les chaque ride!