On a testé, comparé et noté 28 casques Helmet pour te trouver les meilleurs modèles de 2024. Spoiler : on a trouvé bien mieux que le modèle de référence. (Attention à tes durites)
Avec :
- Le Top 3 toutes catégories confondues
- Notre coup de cœur qualité/prix
- Un guide ultra-complet pour choisir.
Fun-fact : le casque Helmet peut se targuer d’être le premier casque intégral à avoir obtenu la norme ECE 22.06, la plus exigeante à date.
Fun-fact bonus : on l’a testé en avant-première mondiale sur notre chaîne YouTube.
Prépare-toi à découvrir la marque qui dépoussière l’univers du casque moto.
Article dispo en story/1er commentaire.
Le verdict express : quel casque Helmet choisir en 2024 ?
On va pas tourner autour du pot : si t’as jamais hésité devant un rayon casque, c’est que t’as jamais craqué un billet chez un vrai bouclard ! C’est parti pour le top 3 qui tabasse en 2024, toutes catégories confondues. Et comme dirait l’autre, gaffe à tes durites si tu penses qu’un jet suffit sur l’A86 un soir de pluie…
Top 3 des modèles Helmet toutes catégories confondues
- Arai Quantic (Intégral) : Homologué ECE 22.06 – aéro digne d’une navette spatiale et confort royal. Moins fun en ville, mais sur autoroute ou piste ça bronche pas.
- Shoei Neotec 2 (Modulable) : Fermeture béton, insonorisation qui calme même un bicylindre énervé. Ouverture/fermeture d’une main, nickel pour les baroudeurs urbains. Par contre, poids à surveiller après 100 bornes – ça pompe dans la nuque !
- LS2 Airflow (Jet) : Ultra-léger, tarif imbattable et look qui file la banane. Bon… oublie la protection max mais pour slalomer entre les taxis c’est l’arme fatale.
Le modèle coup de cœur rapport qualité/prix
Celui qui m’a ramené entier au garage la semaine dernière malgré une pluie dantesque sur le périph’ : Mârkö Tandem Light (modulable). Ces génies du marketing veulent te vendre des gadgets Bluetooth ? Bah lui il offre l’essentiel : coque bien ajustée (EPS multilayer pour les puristes), visière anti-rayures ET solaire rétractable sans galérer avec des gants mouillés !
Franchement, le matin où ma visserie tenait grâce à un simple tour de clé de 12… Je me suis dit : voilà un casque qui cause aux vrais motards, pas aux commerciaux en costard.
Rapport qualité/prix ? Imbattable dès que tu compares avec ces pseudo-casques qui vibrent à 80 km/h ou dont la mousse se fait la malle au premier lavage.
Critères incontournables pour sélectionner ton casque Helmet
Sécurité : certifications ECE 22.06, DOT, SNELL
On va pas se mentir : si t’as jamais maté l’étiquette sur la jugulaire, tu roules sur des œufs. ECE 22.06 ? C’est la toute dernière norme européenne, ça veut dire crash-tests plus poussés (avec plusieurs tailles de têtes et impacts sous différents angles). DOT (ricain style) ? Accepté aux States, mais moins strict qu’en Europe – un peu comme comparer une Clio à une Panigale. SNELL ? Là on tape dans le très haut de gamme : tests indépendants avec des impacts bien violents, exigence sur le liner EPS que ces génies du marketing oublient toujours de mentionner !
Liner EPS (polystyrène expansé), c’est LA mousse qui absorbe vraiment les chocs. Et là où t’as des marques qui mettent du plastique cheap, d’autres (les vrais) soignent la densité multi-couches pour amortir sans broncher. Tu veux survivre à un platane ou juste briller en terrasse ?
Confort : poids, ventilation, doublure interne
Un casque qui pèse trois ânes morts ou ventile à peine, c’est l’assurance d’un torticolis sur la rocade. Sur l’A6 par 35°C en été dernier, j’ai juré que plus jamais un intégral mal ventilé !
| Modèle | Poids | Ventilation |
|---|---|---|
| Shoei Neotec 2 | 1,7 kg | Excellente |
| LS2 Airflow | 1,2 kg | Moyenne |
| Mârkö Tandem Light | 1,5 kg | Bonne |
La doublure interne joue aussi : antibactérien si tu veux pas puer le fennec au bout de deux balades et démontable sinon bonjour le nid à crasse…
Praticité : visière solaire, intercom intégré, démontabilité
Aujourd’hui tu trouves de tout : visière solaire rétractable dingue pour éviter les coups d’soleil dans la rétine ; intercom intégré pour balancer ta playlist ou hurler sur tes potes sans lâcher le guidon ; coques démontables histoire de changer mousse et visière sans sortir l’artillerie lourde.
« Si t’as pas de visière solaire, t’as l’impression de rouler en nocturne en plein cagnard. »
Un conseil d’ancien ? Prends un modèle où tout se démonte finger in the nose – sinon quand tu voudras laver après une averse d’été bien grasse… tu pleureras.
Panorama des types de casques Helmet (MECE)
On va pas se raconter d’histoires : chaque casque a sa tronche, son caractère et sa galère à l’atelier. T’as le choix entre cinq familles, chacun avec ses embrouilles et ses pépites. Allez, on attaque sec — gaffe à tes cervicales, y’a du lourd !
Intégral : protection maximale pour la route et la piste
Le casque intégral, c’est le boss du bitume, point barre. Tu veux t’envoyer de la courbe sur circuit ou pas finir en compote sur nationale ? Ergonomie taillée pour l’aéro : mentonnière fixe qui protège vraiment la mâchoire (pas juste pour le look comme certains jets), écran large histoire de zieuter les angles morts sans tourner la tête comme une chouette. En usage piste, t’as même des spoilers pour coller au bitume à 200 à l’heure – testé perso lors d’un « tout droit » mémorable au Castellet. Seul hic : en ville par temps chaud, c’est sauna direct sous la calotte… mais rien n’égale cette sécurité.
Modulable : le juste milieu entre intégral et jet
Le modulable, c’est le couteau suisse urbain ! Mentonnière relevable façon Schtroumpf astronautique quand tu veux respirer à un feu rouge ou causer au guichet du péage sans hurler. Idéal si tu switches entre périph’ et centre-ville toute la semaine. Ça ventile mieux qu’un intégral pur jus… mais côté poids, attention à pas finir avec une minerve après 200 bornes : le mécanisme ajoute quelques grammes sournois dans la nuque. Et niveau insonorisation ? Faut pas rêver : ça siffle plus qu’un vieux joint spi dès que tu passes 90 !
Jet : liberté d’air pour la ville et le scoot
En ville ou sur scooter, rien ne vaut un bon jet : tu respires l’air des pots d’échappement comme si t’étais en terrasse Porte de Clignancourt ! Légèreté imbattable (souvent sous 1 kg), vision panoramique idéale pour slalomer entre les livreurs pressés et les mamies en Twingo. Par contre sur autoroute ou sous la pluie… oublie direct — le menton exposé prend tout ce que Paris balance dans ta face.
Tout-terrain et cross : robustesse off-road
Le casque cross ? C’est pas du folklore déco ! Ventilation XXL histoire de survivre aux bourbiers d’été ; mentonnière renforcée bien avancée pour éviter que tes chicots fassent connaissance avec un guidon cross. Ces modèles encaissent les chocs latéraux, prennent cher en forêt mais tiennent bon — mousse démontable facile à laver après une galère boueuse (parole de type qui a déjà lavé un blaireau mort sous sa mousse).
Spécial vélo & E-Bike : légèreté et aération optimisée
Là on joue dans l’ultra-light : coques fines, aérations façon grille-pain et mousse interchangeable toutes saisons. Oublie l’épaisseur d’un casque moto : ici c’est du confort poids plume pour pédaler sans cuire du crâne. Parfait pour bosser en livraison rapide ou alterner boulot/détente – je connais même des barjots qui gardent le même casque VAE au skatepark ET à vélo électrique…
Si tu penses qu’un seul modèle fait tout bien partout ? Autant demander à ton garagiste de faire un kebab sauce blanche aux doigts sales. Chaque usage son matos si tu veux rentrer entier ET stylé.
Comparatif des gammes et modèles phares
Mârkö Helmets : Tandem Light et Dark Side Carbon
Tu veux du casque qui claque ? Chez Mârkö, on sort l’artillerie lourde avec le Tandem Light et le Dark Side Carbon. Finition carbone à tomber, texture mate qui attire tous les regards même à la station-service — t’as vraiment l’air d’un extra-terrestre… mais un extra-terrestre encore en vie après une glissade ! Leur résistance fait pas rire : coque multilayer qui absorbe et renvoie la force comme un bon amortisseur Bitubo. Le Dark Side, c’est l’ovni du lot : look futuriste mais visserie sérieuse (rien à voir avec ces jouets en plastique cheap). Sur route mouillée ou péage énervé, ça bouge pas d’un poil. Si tu veux aller plus loin sur la customisation, check ce guide d’achat casque DMD — un must.
Premier Helmets : Trophy, Hyper, Devil
Premier Helmets joue sur tous les tableaux… sauf celui du mécano qui comprend vraiment la mousse EPS ! Le Trophy te balance direct dans la vibe rétro : calotte compacte façon années 70 mais matos moderne sous la coque. Hyper vise ceux qui veulent rouler vite sans trop transpirer – ventilation agressive et intérieur traité antibactérien (si tu veux éviter de sentir le vieux blouson en été). Pour le Devil, là c’est racing pur : spoiler arrière de série, visière épaisse… Mais sérieux, leur marketing t’enrobe ça avec plus de hashtags qu’un concours Instagram ; par contre demander comment on pose un vrai liner EPS ? Disparu.
LS2 : Charger Pro, Aura Pro et Evoluzione
LS2 sort des modèles pour chaque taré du guidon. Le Charger Pro s’adresse aux énervés de la poignée : aéro léchée pour défier l’autoroute. L’Aura Pro mise sur confort et look urbain — parfait pour les adeptes du périph’. Mais grosse dinguerie sur l’Evoluzione : il accueille direct l’intercom LS2 Intercom d’origine, installation plug & play sans découpe ni suée dans le garage. Modulable jusqu’au bout des fixations : mentonnière relevable solide comme un pont de Bercy.
Bell & Arai : classiques réinventés et haut de gamme
Là on cause légende… mais faut vendre un rein pour s’offrir ces bijoux. Bell, c’est tout simplement l’ADN racing américain : chaque modèle transpire la course – jusqu’à la peinture importée ! Chez Arai, c’est la précision japonaise : ajustement au millimètre près et finition manuelle, rien n’est laissé au hasard (sauf peut-être le prix qui pique méchamment). Sur route ou piste, ça rassure grave – mais faut pas avoir peur de pleurer au moment de sortir la CB.
Personnalisation, entretien et accessoires indispensables
L’autre soir au garage, j’ai croisé un pote avec un casque qui tenait plus du pot de yaourt que d’un vrai équipement de survie… Sérieux, faut pas jouer avec ta caboche ! Ici, c’est la base pour customiser, entretenir et blinder ton matos deux-roues.
Guide des tailles et ajustements (tuto rapide)
Prends un mètre souple (ou une ficelle + règle à l’arrache si t’es en galère), pose-le juste au-dessus des sourcils et fais le tour du crâne bien droit. Note la circonférence en centimètres. Compare direct avec le tableau du fabricant : chaque marque a ses fantaisies, donc pas de triche – si t’as la tête d’un melon, prends pas « S » pour frimer devant les potes. À l’essayage, ça doit serrer SANS te plier les oreilles comme un carton à pizza.
Changer mousses et visières : fréquence et astuces
Les mousses ? Ça se lave ou se remplace tous les 6-12 mois (plus souvent si tu transpires comme sous la combi à Magny-Cours). Pour virer l’ancienne mousse : repère les pressions ou scratchs sous la calotte, tire sec sans faire le bourrin. Pour la visière : déclipsage côté charnières ; vérifie toujours l’état des ergots (si c’est limé = change tout). Un casque négligé, c’est comme un kebab sans sauce : zéro plaisir et tu risques de finir au tapis à cause d’une mousse tassée !
Intercom et communication : installation pas à pas
Faut sortir le tournevis de précision ! Ouvre la doublure, cale les écouteurs pile sur les oreilles (pas sur la tempe hein…), glisse le micro côté menton ou joue interne selon le modèle. Le boitier principal s’accroche en général sur le flanc externe du casque – vire tout câble qui pendouille sinon c’est carnage dès 30 km/h. Pense à tester micro/son AVANT de refermer… j’ai déjà vu des gars démonter trois fois parce qu’ils entendaient que dalle.
Les indispensables : cagoule, kit de réparation, housse
Sans cagoule ? Prépare-toi à sentir le phoque après 3 balades… Elle réduit sueur & crasse dans la mousse. Le kit réparation (petits outils plats/clé Allen + visserie d’avance) te sauve quand une vis se fait la malle au fin fond du périph’. Et la housse ? Obligatoire pour éviter rayures ou poussière dans le garage humide – oublie les sacs plastiques Lidl !!
Ce que disent les motards : avis terrain et retours d’expérience
Points forts et faiblesses remontés en virée
Si tu demandes aux vrais (pas aux poseurs du dimanche), le retour est cash : un bon casque, ça se sent avant même de kicker le moteur. Ceux qui bossent la route te diront que l’insonorisation change la vie sur longue distance, surtout avec les modulables où la fatigue sonore s’accumule vite. Beaucoup jurent par la ventilation réglable (et pas juste trois trous pour décorer) : sur un périph’ bouché, le moindre flux d’air frais évite de finir dégoulinant comme une truite trop cuite. Mais attention, nombreux râlent sur certains jets dont la mousse finit en galette dès le troisième lavage, ou sur ces visières qui se rayent dès qu’un moustique leur fait un clin d’œil. Le poids joue aussi : au-dessus de 1,6kg, c’est la nuque qui trinque…
Anectodes de galères et réussites sur le bitume
Un soir, une averse sur l’A13 : mon pote roule en jet tout neuf, visière relevée parce que soi-disant « plus stylé ». Résultat ? Grêle dans les dents et angle mort jamais vu venir – il a compris sa douleur quand un rétro lui a frôlé la joue… Depuis, il jure ne jamais rouvrir cette foutue visière sans vérifier la météo !
Perso j’ai déjà vu des types repartir d’une terrasse parce que leur mousse était tellement crade qu’elle puait plus que leurs bottes après un rallye boueux. Ça rigole moins quand ça sent le phoque sous la coque – donc entretien obligatoire sous peine d’exclusion sociale immédiate !
Perso, mon coup de gueule sur la visserie cheap
La visserie tu la négliges ? T’es mort. T’as beau avoir une bombe full carbone à 800 balles… si trois vis de charnière valsent à 130 sur autoroute, ta visière dégage façon frisbee et t’as l’air fin à finir le trajet les yeux plissés comme un vieux furet. Ces "génies du marketing" pensent qu’une vis c’est accessoire ? J’en ai vu arriver au garage avec des casques où chaque mouvement faisait sonner toute la calotte comme une boîte Playmobil ! Un conseil : vérifie tes serrages toutes les deux semaines — et oublie jamais une clé de 12 dans ta poche !
FAQ express pour ne rien louper
Quel casque protège le mieux ?
Si tu veux maximiser tes chances de garder la caboche entière, c’est simple : intégral full carbone et homologué ECE 22.06. T’as beau aimer la brise dans les moustaches, rien ne vaut un intégral carbone pour encaisser un impact brutal — et ceux qui t’expliquent qu’un jet "suffit" n’ont jamais testé une glissade à 90 sur le périph !
Faut-il changer son casque tous les 5 ans ?
Oui, et c’est pas qu’un coup des vendeurs pressés ! L’EPS (la mousse qui amortit les chocs) vieillit même posé au sec : UV, sueur acide et petites chutes l’usent à l’intérieur. Après 5 ans, la protection diminue sévère (testé en ouvrant un vieux casque : mousse tassée comme un vieux coussin). Si t’as pris une grosse boîte ou laisse ton casque bronzer sur le rétroviseur… change-le plus tôt, c’est pas négociable !
Pourquoi mettre une cagoule sous le casque ?
La cagoule, c’est pas juste pour ressembler à un pilote du Dakar : elle évite que ta sueur transforme la mousse en éponge cracra et garde ton crâne au chaud l’hiver ou au frais l’été. En plus, fini les démangeaisons après trois jours de canicule sous la même coque ! Pour ceux qui roulent souvent, c’est LA barrière hygiène qui prolonge la vie du casque — nettoyage rapide (hop en machine), pas besoin de démonter tout à chaque balade.
Un casque sans cagoule après trois sorties l’été ? Attends-toi à une odeur désagréable dès que tu l’enfiles...
Allez hop : ta check-list avant d’acheter
Faut pas croire, choisir un casque c’est pas comme prendre des chaussettes chez Lidl. Faut viser juste, sinon tu risques le serre-tête ou la calotte qui ballote à 130 ! Avant de flamber ta CB ou d’écouter les baratineurs de salon, pose-toi les bonnes questions et coche la checklist qui fait la diff’ – celle que même les vendeurs planqués derrière leur ordi ne connaissent pas.
Budget, usage et style : fais ton combo gagnant
- Fixe ton budget (et méfie-toi des casques bas de gamme à 60 balles qui tiennent moins bien que ta vieille mobylette)
- Définis ton usage : ville (jet/urbain), route (intégral/modulable), off-road (cross) ou multi-type ?
- Vérifie la compatibilité avec lunettes/intercom si t’es geek ou bigleux.
- Chope le look qui te ressemble : rétro chromé, carbone brut ou mat urbain – c’est toi qui portes !
- N’oublie pas les options utiles : ventilation réglable, démontabilité rapide, visière solaire.
Points de vente et bons plans en ligne
Les vrais savent : évite les plateformes obscures où même la notice est bourrée de fautes… Privilégie les sites spécialisés reconnu comme monequipementscooter.fr, Motoblouz, Dafy Moto ou Speedway. Profite des promos saisonnières (soldes d’été/hiver ou déstockages pré-sortie nouveaux modèles). En boutique physique, tente toujours la négo pour gratter une housse ou une visière de rechange !
Résumé des 5 étapes clés pour se décider
- Essaye plusieurs tailles/marques (ça taille chelou selon les modèles)
- Checke l’homologation ECE/DOT/SNELL sur étiquette jugulaire
- Teste le confort & maintien sur au moins 10 min en magasin
- Inspecte la qualité visserie/mousses/doublures (pas de jeu suspect!)
- Compare garanties/retour SAV entre vendeurs
Nos conseils avant paiement
Fais pas confiance aux photos retouchées ! Essaie TOUJOURS le casque avant achat, si possible longtemps – histoire d’éviter la migraine du siècle après deux ronds-points. Gaffe aux points de pression derrière l’oreille et au niveau du front ; si ça pince dès cinq minutes, c’est mort d’avance… Garde en tête qu’un bon ajustement vaut mieux qu’un rabais bidon !
