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Avis pneu 4 saisons : notre guide d’achat et comparatif détaillé 2024

On a testé les 10 meilleurs pneus 4 saisons de 2024. Et élu le meilleur dans ce guide comparatif.

16 min
Comparatifs & Tests
17 June 2025 à 20h50

On a testé les 10 meilleurs pneus 4 saisons de 2024. Et élu le meilleur dans ce guide comparatif. Mais aussi : (1) pourquoi et quand choisir un pneu 4 saisons plutôt que 2 trains été/hiver (2) les tests indépendants TCS/ADAC (3) les pièges à éviter pour choisir le bon pneu pour toi (4) comment doubler la durée de vie de ton train.

Les meilleurs pneus 4 saisons 2024 : notre sélection

T’imagines : feu rouge, averse qui dégouline, t’as trois scooters qui te matent et derrière, un taxi pressé. Le feu passe au vert, tu lâches l’embrayage… et là c’est pas la caisse qui patine, c’est le type à côté. Perso, ce genre de scène, je l’ai vue cent fois devant mon atelier ! Y’a qu’à regarder les traces sur le macadam pour piger que beaucoup roulent avec des gommards dignes d’un épisode de « Cauchemar chez Norauto ». Et pendant que les génies du marketing te vendent des « labels verts », nous on voit bien que sur sol trempé à 80 km/h, y’en a qu’un sur deux qui sait s’arrêter avant le platane !

Allez hop, t’as pas envie de finir dans le pare-choc du bus ? Mate ce TOP 5 des pneus 4 saisons :

Pneu Goodyear Vector 4Seasons Gen-3 sous la pluie
🏆 Modèle Note freinage mouillé (m) Bruit (dB) Indice usure Treadwear Prix moyen (€)
🥇 Goodyear Vector 4Seasons Gen-3 41.9 67 420 108
🥈 Michelin CrossClimate 2 37.6 69 440 124
🥉 Continental AllSeasonContact 2 42.2 68 400 107
Vredestein Quatrac Pro 43.0 70 400 95
Hankook Kinergy 4S2 44.8 70 >420 89

"Sur route mouillée à vitesse réelle, seul un freinage irréprochable sépare une manœuvre maîtrisée d’un accident évitable." — Lars Ly (TCS)

🥇 Goodyear Vector 4Seasons Gen-3 : roi du compromis urbain

Vainqueur selon ADAC/TCS en sécurité globale. Dès que tu les montes, tu sens direct : flancs souples mais une accroche qui colle au bitume comme un morback sous la pluie. Silence bluffant à bord (67 dB), longévité au-dessus de la moyenne. Idéal citadins nerveux et compactes type Golf ou Clio.

🥈 Michelin CrossClimate 2 : pour les gros rouleurs détestant les rotations

Freinage mouillé record (37.6 m !), t’as vraiment l’impression que la voiture s’ancre au sol. En montage atelier, ça reste rigide – parfait si tu fais autoroute et nationale non-stop avec une Octavia ou Mégane break.

🥉 Continental AllSeasonContact 2 : silence et économie de carburant

Score ADAC solide ; confort top, bruit réduit (68 dB). La direction, c’est franc mais jamais brutal, ça rassure sur familiale genre Peugeot 308 SW. Perso je trouve que ça use un peu plus vite en conduite agressive.

Vredestein Quatrac Pro : adhérence sport en berline compacte

Testé sur un Ibiza FR : profil sportif confirmé même sous flotte. Gomme tendre pour la saison froide mais faut surveiller l’usure si tu bourrines beaucoup l’été ! Parfait pour ceux qui aiment chicaner entre les ronds-points.

Hankook Kinergy 4S2 : petit budget qui tient la route

ADAC dit : honnête partout mais bruyant (70 dB). À monter sans hésiter sur une Sandero ou Yaris si ton banquier fait la gueule… Mais à éviter si tu veux de la précision de ouf sous trombes d’eau.

Pneu 4 saisons vs pneus été/hiver : ce que tu gagnes (ou perds) vraiment

T’as déjà vu un type débarquer à l’atelier en décembre avec ses pneus été rincés, jurant qu’en ville ça passe ? C’est le même qui revient en février sur trois jantes et une galette. Franchement, la différence de gomme, c’est pas du bla-bla de pub : c’est de la physique pure, et ça rigole pas.

Plage de température et composition de gomme

Summer vs All Season : Les chiffres qui causent
- Pneu été : Gomme soft mais nerveuse (dureté Shore A autour de 60-65), % silice modéré – optimal au-dessus de 7 °C. En dessous ? Ça devient du bois sec !
- Pneu 4 saisons : Mélange « fourre-tout » avec plus de silice (parfois > 70 %), dureté souvent réduite (Shore A vers 58-62). Résultat ? Accroche décente dès -5 °C, sans se liquéfier à +30 °C.
- Pneu hiver : Silice à gogo (> 80 %), caoutchouc ultra souple (Shore A <60), profil lamellisé pour la neige et verglas. Mais sur bitume chaud, ça s’effrite rapido !

Avantages concrets du 4 saisons :
- Allez hop : tu gagnes 2 montages/an et pas besoin de stocker les trains dans ta cave à champis.
- Un compromis valable pour qui fait surtout ville + périurbain.
- Homologués 3PMSF pour ne pas finir recalé par la maréchaussée en montagne.

Inconvénients :
- Tenue dégradée si tu fais le Fangio sur autoroute l’été ou que tu vis en Savoie toute l’année.
- Usure accélérée sous climat chaud ou conduite appuyée prolongée.

Freinage, aquaplaning, tenue sur neige : chiffres clés & croyances borderline

Des études sérieuses montrent qu’un bon pneu hiver type Blizzak LM005 colle encore mieux au pavé mouillé sous les 7 °C :+0,6 % au freinage humide comparé à un all season, soit près de 2 mètres gagnés à 80 km/h… Sauf que certains all seasons modernes se défendent très bien sur pluie tempérée (écart parfois <1 mètre).

Si un pneu n’a pas prouvé son freinage à 80 km/h sur le mouillé, il devrait être interdit !

C’est simple, entre l’aquaplaning mal géré et un freinage longuet, t’es à deux doigts d’écrire ta plaque sur le pare-choc du voisin. Sur neige épaisse ? Aucun all season ne rivalise avec un vrai pneu hiver clouté ou nordique — oublie direct si tu vis en altitude !

Budget global : un train au lieu de deux, vraiment rentable ?

Mate la calculette pour une Peugeot 308 roulant 15 000 km/an sur trois ans :

Option Achat Pneus (€) Montage x2/an (€) Total 3 ans (€)
4 saisons (milieu gamme) 440 180 620
Été + Hiver 380+380=760 360 1120

Résultat brut de cambouis : Le train unique te fait gratter quasi 500 balles, sans compter le gain côté logistique. Mais faut accepter d’y laisser quelques mètres niveau perf’ en conditions extrêmes – question d’arbitrage!

Comment choisir TES pneus 4 saisons sans se faire enfumer

Trop de fois, j’ai vu des gars débarquer à l’atelier avec des pneus achetés sur internet genre "ça passe, c’est la même taille !". Résultat : ils flinguent leur direction ou se font recaler au CT. Alors tu veux pas faire le pigeon ? Lis bien ce qui suit.

Lire les indices de charge & vitesse comme un pro

Commence par décoder le flanc du pneu : le chiffre avant la lettre indique l’indice de charge (genre 91 = 615 kilos par pneu), la lettre après (H, V, W...) c’est l’indice de vitesse (H = 210 km/h, V = 240 km/h, et ainsi de suite). Te plante pas là-dessus :
- Descendre l’indice = recalé au CT + assurance qui t’envoie bouler si tu cartonnes.
- Trop bas ? Adieu tenue sous charge ; tu transformes ta bagnole en savonette.
- Et si tu crois gagner du confort avec un indice inférieur… Gaffe à tes durites, le prochain rond-point pourrait te coller dans le décor !

Pour la dimension, mate toujours la monte homologuée par ton constructeur (souvent dispo dans la portière ou le manuel). Les bidouillages à la louche finissent en pneus qui frottent ou ABS en carafe.

Profils de conduite : urbain pépère, autoroute, montagne occasionnelle

Choisis tes gommards selon TA vraie vie, pas les rêves d’influenceurs !

  • Ville & trajets courts (Fiat 500L, Renault Clio) : Michelin Defender T+H ou CrossClimate2 – top longévité/coupure bruit.
  • Périurbain/autoroute (Audi A3, Skoda Octavia) : Goodyear Vector 4Seasons Gen-3 pour stabilité à haute vitesse.
  • Montagne occasionnelle (Dacia Duster) : Continental AllSeasonContact2 – accroche correcte même sur route froide ou mouillée.
  • Compacte vitaminée (Ibiza FR…) : Vredestein Quatrac Pro ; parfait si tu veux garder la pêche sans tout cramer l’été.

Perso : Si t’as un Kangoo chargé à bloc ou que tu fais Blablacar tous les week-ends… vise un indice de charge plus haut et évite les pneus discount !

Labels 3PMSF, M+S & étiquettes UE : ce qu’ils disent… et ce qu’ils cachent

Depuis mai 2021, chaque pneu vendu en Europe est affublé d’un label notant adhérence pluie (A à E), bruit roulement et conso carburant. MAIS – scoop ! – aucun test abrasion réel n’est encore affiché sur l’étiquette ! La Commission baratine depuis deux ans sur l’ajout d’un indice d’usure mais rien n’est publié sérieusement avant fin 2024. Résultat ?

« Le label éco sans abrasion, c’est du vert fluo pour citadin crédules ! »
En attendant ce fameux score usure officiel : seuls des essais longue durée type TCS/ADAC te donnent une idée fiable sur combien de bornes avant que ça parte en lambeaux.

Regarde TOUJOURS les tests indépendants pour voir si le pneu ne s'effrite pas dès les premiers freinages appuyés…

Diagnostic lamelles mal foutues : vidéo explicative béton !

Tests indépendants 2024 : ce qu’en disent TCS, ADAC & consorts

Un mardi matin d’avril, j’ai maté les gars du TCS sortir leur arsenal sur une piste détrempée : ambiance labo mais le stress d’un vrai freinage d’urgence. Croyez pas qu’ils coincent des pneus au pif – là, c’est méga carré ! Et pendant que les commerciaux t’enfument avec leur "expérience client", eux ils mesurent au dixième.

Test de freinage sur sol mouillé par TCS

Méthodo béton : comment ils testent VRAIMENT

  • Freinage sur sol mouillé : arrêt complet de 80 à 5 km/h, ABS activé, trois runs mini, filmé et recalculé à la louche millimètre.
  • Confort : analyse de vibration cabine + bruit (dbA) mesuré dans l’habitacle.
  • HAP (polluants) : prélèvements directs dans la gomme pour débusquer tous les saloperies toxiques.
  • Bruit extérieur : passage radar à 50 km/h sur asphalte normé.
  • Usure : simulation long run sur banc de roulage et analyse micro-déchirures après x cycles.

Pas étonnant que certains modèles se fassent recaler – ici, zéro pitié pour le marketing !

Top/flop ADAC 2024 : classement express (205/55 R16)

Rang Modèle Note Globale Point Fort Point Faible
1 Goodyear Vector 4Seasons G3 "Bon" Maîtrise pluie/neige Prix élevé
2 Continental AllSeasonContact2 "Satisfaisant" Silence, conso Légère usure
3 Michelin CrossClimate 2 "Satisfaisant" Distance freinage sec Bruit
... RoadX RXMOTION 4S "Insuffisant" Prix mini Freinage dangereux

Sur les seize testés par ADAC, quasi un tiers sont recalés en freinage ou usure. Y’a pas que le blabla pub qui compte !

Pourquoi tes résultats diffèrent toujours ? Anecdote cambouis inside…

Perso ? J’ai vu un gars rouler à l’atelier pour un "vague flou" à haute vitesse… Pression checkée : il tournait à 2.0 bar au lieu de 2.4 recommandés. Résultat direct : direction pâteuse dès qu’il passait les 130 km/h sur autoroute. Et avec le froid matinal ou canicule d’été, chaque baisse de température te fait baisser la pression d’1 psi tous les -6 °C (= env. -0.07 bar). Moralité ? Même le meilleur pneu se transforme en savonette si tu négliges la pression et la température !

Teste toujours à la pression constructeur et à température réelle avant de juger un pneu. Sinon, tu risques de blâmer ton garagiste à tort !

Avantages, limites et idées reçues à démonter sur le pneu 4 saisons

Polyvalence : mythe ou réalité ?

T’as déjà entendu l’argument « le pneu 4 saisons, c’est parfait en toutes circonstances ! » Hein, tu parles… Le Touring Club Suisse (TCS) a décortiqué la question : les pneus toutes saisons sont un compromis, ni plus ni moins. Sur le sec ou sous la pluie modérée, ils se défendent correctement — mais face aux extrêmes (canicule ou neige profonde), ça décroche plus vite qu’un stagiaire devant une caisse automatique ! Résultat : bon choix si tu roules ville-périurbain et pas trop bourrin… mais inutile d’espérer des miracles quand tu tapes les extrêmes météo. Perso, j’ai jamais vu un CrossClimate2 battre un vrai hiver sur verglas.

Usure accélérée en été : vrai problème ou simple légende ?

Allez, tableau de vérité à la Gianni :
- + Moins usant qu’un hiver classique si tu roules pépère en urbain (testé sur Mazda 3 taxi : usure <1.4x vs été pur – source étude urbaine sciencedirect).
- Gomme plus tendre que du pur été donc chauffe vite = flancs qui ramollissent et usure accélérée l’été dès que tu bourrines au feu rouge.
- + Polyvalent donc moins de passages à l’atelier = économie réelle si tu fais pas de rallye.
- Si tu fais 25 000 km/an au sud, prépare-toi à user du train avant avant le contrôle technique !

Perso : vu chez Mazda taxi, 30 000 bornes en ville = flancs qui s’arrondissent plus vite que les pneus purement été… surtout quand il fait chaud ou si t’es chargé comme un mulet.

Neige épaisse : quand passer sur du vrai pneu hiver

Sur la poudreuse bien fraîche (>5 cm), les all seasons font illusion… deux virages. Test après test (checke TCS & consorts), dès que tu descends sous -7 °C ou que t’as besoin de motricité pour grimper une côte gelée, c’est mort — seul le vrai pneu hiver tient la baraque.

En dessous de -7 °C et sur plus de 5 cm de neige, optez pour des pneus hiver ou utilisez des chaînes (Mercedes Classe A, Renault Scénic…).

Et oublie pas : dans certaines zones montagneuses en France et Suisse, chaînes OBLIGATOIRES même avec des all season marqués 3PMSF.

Impact conso & CO₂ : la gomme peut-elle être verte (sans baratin) ?

On nous bassine avec l’étiquette "éco"… Mais depuis Euro 7 (avril 2024), on exige aussi des données sur l’abrasion réelle et les émissions HAP (hydrocarbures aromatiques polycycliques). Les all seasons modernes sont souvent mieux notés côté résistance au roulement qu’en 2018 – gain de conso parfois visible (-0.1 à -0.2 L/100 km sur compactes). Sauf que pour l’usure particules fines/CO₂, c’est encore brouillard total : aucun scoring fiable dispo avant fin 2024 !
Les génies du marketing s’enflamment déjà sur le "vert", alors qu’en réalité, seuls les tests long terme indépendants disent combien ton pneu relargue vraiment dans l’air ambiant…

Montage, entretien et usure : allonge la durée de vie de ton train

T’entends encore les mecs du marketing dire « pas besoin d’entretien, c’est du 4 saisons ! » ? Laisse-les causer... Si tu veux pas cramer ton budget ou finir avec une direction en carafe à 60 000 km, c’est pas sorcier : l’entretien, c’est la base. Perso, j’ai vu un gars flinguer des Primacy en 18 000 bornes juste parce qu’il tournait toujours autour du même rond-point sans jamais permuter.

Pression, permutation, parallélisme : la triade anti-abrasion

Allez hop : 4 étapes à ne pas zapper pour garder tes pneus frais plus longtemps !
- Pression : Vérifie chaque mois (à froid), surtout avant départ chargé. Trop bas = usure sur les épaules/tenue bidon ; trop haut = gomme qui crève au centre.
- Permutation (avant arrière) : Tous les 10 000 km → favorise le schéma “forward cross” pour traction avant (les roues avant vont derrière en croisant ; les arrières montent devant sans croiser). Ça équilibre l’usure à mort.
- Parallélisme : Contrôle si tu sens la voiture qui tire d’un côté ou après un choc de trottoir. Un réglage foireux, et t’as l’usure façon escalier direct !
- Équilibrage : À chaque changement ou apparition de vibrations chelous. Moins de tremblements = plus de durée de vie.

Décryptage des témoins d’usure et profondeur légale

Imagine Paulo qui débarque avec sa Citroën C4 : ses pneus affichent 1,6 mm sur le témoin — pile la limite légale. Sauf qu’au moindre orage, aquaplaning assuré… Les témoins (petites barres dans la rainure) sortent à 1,6 mm (soit ~2/32"). Pour un vrai grip sur pluie/neige : change tes pneus AVANT d’atteindre ce seuil. En dessous ? T’es une savonnette ambulante – et le contrôle technique te colle une contre-visite directe !

Stockage, nettoyage, recyclage : pas de pneus qui traînent au fond du box

Pneus stockés correctement dans un atelier

Range jamais tes pneus au soleil ou humides !! Privilégie un endroit sec/frais ; empile-les à plat si non montés ou debout si montés sur jantes (rotation mensuelle). Si tu changes ? Dépose direct chez un garagiste affilié Aliapur ou ton éco-centre local : recyclage obligatoire en France depuis 2003 (déjà payé via l’éco-taxe incluse dans le prix du pneu). Et arrête de croire que tu peux les balancer à la déchetterie du coin : c’est refusé net depuis belle lurette !

FAQ express : les questions que tu poses (et les réponses cash)

Les pneus 4 saisons sont-ils autorisés partout en France ?

  • Ouais, mais gaffe ! Jusqu’au 1er novembre 2024, il suffit que tes pneus portent le marquage M+S ou le symbole 3PMSF (la montagne avec flocon) pour rouler peinard en zone montagne. Après cette date, faudra obligatoirement les DEUX logos sur le flanc. Sinon t’es recalé.

Combien de kilomètres avant de passer à la caisse ?

  • En général, un bon pneu 4 saisons te tient entre 35 000 et 50 000 km, mais ça dépend si tu bourrines ou pas ! Flanc mou + rond-point = usure plus vite qu’un kebab en sortie de boîte. Vérifie l’usure tous les 10 000 km — et change AVANT d’atteindre le témoin (1,6 mm c’est pas fait pour freiner sous la flotte).

Est-ce que je peux rouler chargé à bloc avec des 4 saisons ?

  • Oui… SI t’as pas mégoté sur l’indice de charge ! Descendre sous l’indice constructeur = direction floue, CT dans les dents et assurance qui t’oublie si tu cartonnes. Prends toujours un indice égal ou supérieur à celui préconisé. Et oublie pas de gonfler un peu plus si t’as la bagnole pleine pour le ski !

Ce qu’il faut retenir avant de passer commande

Pas là pour enfiler des perles : si tu veux rouler safe, longtemps et sans prise de tête, le Goodyear Vector 4Seasons Gen-3 reste la référence béton. Testé, validé en atelier et par les vrais pros du freinage sous flotte — pas par les beaux parleurs du marketing ! Perso, je pars sur du Gen-3 et basta : mieux vaut investir direct que gratter sur ta sécurité. Allez hop, choisis bien et oublie pas : un bon pneu, c’est ta seule vraie assurance anti-galère !

Pneus Goodyear Vector 4Seasons Gen-3 neufs devant un atelier

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