En 2021, Hyundai lançait son Ioniq 5, révolutionnant le monde de l'automobile électrique. En 2024, le constructeur coréen remet le couvert avec un restylage qui enfonce encore le clou. Alors, on a pris son volant pour 1500 km de ville, de route et d’autoroute. Et on t’a pondu l’essai le plus complet du Web sur le sujet. Mais attention : on n’a pas été tendres. On te prévient, tu risques de ne plus vouloir nous croire sur parole. On t’explique pourquoi il est (peut-être) la meilleure électrique à l’heure actuelle. Et surtout : pour qui il ne l’est (vraiment) pas. Allez hop.
Hyundai Ioniq 5 : verdict express après 1500 km

Anecdote du bitume : La dernière fois que j’ai croisé une Ioniq 5 à la station Ionity de Porte de Saint-Ouen, le proprio s’est fait un bon vieux café… et bim, il avait déjà repris la route pendant que les Tesla poireautaient. On pose le verdict ? Clairement, ça sent le costaud coréen qui ne vient pas pour faire tapisserie dans la ligue des électriques.
Ce qu’il fait mieux que la concurrence (en 60 secondes)
- Recharge ultra-rapide grâce à la plateforme 800 V (10-80% en moins de 20 min sous Ionity !)
- Habitacle lounge avec banquette coulissante et sièges relax façon canapé Netflix – Model Y peut aller se rhabiller.
- Garantie Hyundai béton : 5 ans sans limite de km, batterie couverte 8 ou 10 ans suivant version.
- Modularité coffre/topo urbain : empattement géant, plancher plat – c’est du niveau van aménagé !
- Matériaux plus quali (recyclés & soft touch), vrai effort sur l’ambiance à bord alors que certains balancent du plastoc cheap (coucou Kia).
Alors, qui peut rivaliser dans la vraie vie ?
Les inconvénients à connaître
Faut pas rêver : à vide elle tape déjà les deux tonnes, alors chargé en famille + Graillou du dimanche, t’es sur le couple du moteur à bloc au moindre démarrage. Les pneus en 21’’ coûtent un bras dès le premier changement (et ils fondent vite avec le poids), et côté essuie-glaces : t’auras meilleur temps d’essuyer avec ta manche sous grosse drache. Autonomie hivernale ? Prévoir large ou prévoir d’attendre au chaud.
Pour qui l’Ioniq 5 est le meilleur deal ?
Son terrain de chasse ?
- ✔️ Famille nombreuse qui veut du coffre et du silence sur autoroute.
- ✔️ Urbain/périurbain blasé des SUV banals.
- ✔️ Pro/flotte qui assure ses trajets sans stress ni panne techno.
- ✔️ Geek branché interface tactile et recharge express.
Bonus écologique : faut-il se décider rapidement ?
Le bonus écolo file entre les doigts : jusqu’à 5100 € de rabais en France jusqu’à fin novembre… Après ? Restylage certes, mais hausse prix quasi actée en 2025 et modèles restants plus rares. Sur notre marché hexagonal très friand d’électriques asiats, ça part vite – surtout les configs bien équipées !
Pour éviter la hausse des prix après la fin du bonus, c'est le moment idéal pour passer à l'achat.
Performances électriques : puissance et sensations sur tous les terrains
0-100 km/h, reprises et couple instantané : chronos maison
Pas de blabla inutile, les chiffres qui claquent:
Version | 0-100 km/h | 80-120 km/h | Poids (kg) | Tesla Model Y Perf |
---|---|---|---|---|
Propulsion (petite) | 8,5 s | >6,2 s | ~1870 | - |
Propulsion (77 kWh) | 7,3 s | ~5,2 s | ~1910 | - |
HTRAC AWD (77 kWh) | 5,1 s | 3,6 s | ~2050 | 3,7 s |
Ioniq 5 N | 3,4 s | <3,0 s | ~2210 | 3,7 s |
La vérité ? Sur une ligne droite de banlieue entre deux feux rouges – l’AWD t’arrache la nuque. Mais c’est la version N qui atomise tout le monde au run. Même une Model Y Performance fait pâle figure sur le papier… mais la N pèse encore plus lourd !
Le couple instantané offre une réactivité impressionnante dès la moindre pression sur l'accélérateur.
Mode i-Pedal et freinage régénératif : une conduite sans effort
Le truc que personne t’explique ? L’Ioniq 5 propose 4 niveaux de régénération récupérable, via les palettes derrière le volant. Et le mode i-Pedal (exclusif Hyundai), c’est simple : tu conduis PRESQUE sans toucher aux freins.
Anecdote : Lors d'une descente de Montmartre en mode i-Pedal par temps pluvieux, le freinage régénératif a permis de s'arrêter net à chaque passage piéton, sans solliciter les plaquettes.
- Étapes pour régler tes palettes régén :
- Touche palette gauche pour augmenter la force de régénération (jusqu’au niveau max ou i-Pedal)
- Palette droite : tu relâches si tu veux plus de roue libre (mode roue libre = zéro frein moteur)
- i-Pedal activé = tu gères tout à la pédale d’accel’ ! Zéro freinage classique sauf urgence.
- Astuce : En ville ou bouchon = niveau max/i-Pedal ; sur route fluide = régénération basse pour glisser peinard.
- Conseil autonomie : Plus tu anticipes avec la palette et ton pied léger, moins tu tapes dans la batterie – c’est prouvé par tous les geeks du forum !
Versions N, HTRAC et Propulsion : les vraies différences sur la route
- Propulsion : direction légère mais ça flotte vite si tu bourrines. Idéal urbain/autoroute pépère.
- HTRAC AWD : transmission intégrale – feeling précis même sous grosse pluie ; suspension ferme sans casser le dos.
- N : là c’est autre chose… Suspension bodybuildée façon karting coréen ; direction ultra-réactive ; sonorité e-shift qui simule boîte auto/coups de gaz. C’est fun mais franchement too much passé la frime du samedi soir. Sur nationales bosselées ça remue sec !!
Gaffe à tes durites !
Autonomie réelle et recharge : entre théorie et pratique

Batteries 77 kWh vs 84 kWh : chiffres et réalité hivernale
Il est important de ne pas prendre les données WLTP comme une vérité absolue. La version 77 kWh annonce environ 507 km WLTP ; la nouvelle 84 kWh se la joue 570 km sur fiche technique… Mais en janvier par -2°C ? Oublie direct. On cause plutôt 420-440 km réels max avec le pack 84 (et à peine 350-370 pour l’ancien). Pire avec jantes de 21’’, là tu sues déjà à l’idée d’un Paris-Lille sans pause Ionity. Donc la promesse c’est bien, mais la vérité c’est sur la route…
Batterie | WLTP | Été réel | Hiver réel |
---|---|---|---|
77 kWh (2023) | ~507km | ~460km | ~350km |
84 kWh (2025) | ~570km | ~510km | ~420-440km |
Réseau Ionity ? Sauveur les jours de galère mais pas encore autant de bornes qu’une station à kebab.
Consommation urbaine, périurbaine, autoroute : nos relevés
En ville : t’es peinard sous les 15 kWh/100 km, même en mode clim’ et Spotify à fond. C’est là que tu te dis qu’un écolo urbain a tout pigé – ça consomme moins qu’un sèche-cheveux !
Périurbain/bouchons : compte 17-19 kWh/100 km si tu fais gaffe à pas jouer du pied droit façon Kangoo Express. Dès que t’es fluide, l’Ioniq descend tranquille sous les radars.
Autoroute à 130 : et là, bim ! Coup de massue direct avec 23-27 kWh/100 km selon météo et vent dans la face. Tu files droit au stand Ionity avant même le prochain péage – moralité : vitesse allemande = batterie séchée !
- Urbain : 14,5 – 16,0 kWh/100 km
- Mixte/périurbain : 17 – 19 kWh/100 km
- Autoroute rapide : 23 – 27 kWh/100 km
Allez hop, faut pas rêver.
Plateforme 800 V : de 10 % à 80 % en combien de cafés ?
Là-dessus, Hyundai enterre quasi tout le monde côté recharge rapide. Sur une borne DC ultra-rapide type Ionity (350 kW / 800 V), tu passes de 10 % à 80 % en…18 minutes, montre en main. Soit le temps d’avaler un double cheese-frites – pas plus (et crois-moi, gaffe à ton estomac si t’enchaînes trop de recharges).
Si t’es bloqué sur une AC « maison » (11 kW), prévois ta nuit entière pour faire le plein. Bref : réseau Ionity = roi du fast-food électrique ; prise domestique = barbecue all night.
Recharge express : entre deux kebabs, batterie pleine avant que t’aies torché ta cannette ! Perso… je valide ce concept tant que y’a du jus dans la borne.
Confort, habitacle et technologie embarquée : un salon roulant ?

Habitabilité, modularité et coffre : la vie à bord au quotidien
Hyundai a pas fait semblant avec son E-GMP ! Plancher tout plat sur toute la bagnole : même le plus grand des darons peut allonger les guibolles à l’arrière. Console centrale qui coulisse façon wagon-bar – tu tires, tu pousses, tu ranges tout ce que t’as piqué à la pause kebab. Les sièges ? Du vrai lounge : tu t’affales, tu tires la molette pour te mettre en mode sieste entre deux bornes. Frunk devant (ouais, un coffre là où y’a d’habitude un moulin thermique) : 57 litres pour planquer cabochons de recharge ou sac de sport – pratique quand t’en as marre du bazar familial dans le vrai coffre. Perso… je pourrais presque y vivre après une grosse crasse avec madame !
Interface double-écran & volant capacitif : ergonomie ou usine à gaz
Deux dalles 12,3’’ côte à côte qui te matraquent les infos – c’est stylé mais faut s’y retrouver. Le volant capacitif façon vaisseau spatial ? Ça claque, mais parfois ça réagit comme une vieille télécommande d’autoroute. Apple CarPlay sans fil présent sur les dernières versions (enfin !) mais pas sur toutes, fais gaffe.
Ce qui fait plaisir :
- Menus clairs sur l’infotainment (pas besoin de bac+8 pour régler le chauffage).
- Widgets personnalisables bien fichus – tu mets navigation/Spotify/consommation où tu veux.
- Apple CarPlay sans fil dispo : un bonheur pour larguer Android Auto filaire.
Ce qui fait rager :
- Boutons haptiques sous l’écran : t’appuies, rien se passe… ou alors plusieurs fonctions à la fois !
- Réactivité tactile moyenne avec écran parfois lent par froid.
- Système EV pas toujours limpide, faut creuser les sous-menus pour trouver l’état de charge réel ou programmer une recharge différée.
Aides à la conduite (ADAS) : utiles ou stressantes ?
Le HDA2 (Highway Driving Assist 2), c’est censé être le copilote parfait sur autoroute. Maintien dans la voie même quand ça tourne sec, radars actifs partout, alerte fatigue dès que tu commences à zigzaguer après deux heures dans les bouchons du périph’. Mais sérieux – volant qui gigote tout seul comme s’il jouait au jeu vidéo… Parfois il capte pas un panneau temporaire (merci les travaux), il freine un coup sec sur fausse alerte radar.
Anecdote en béton : Un matin pluvieux Porte Maillot, l’Ioniq me colle un gros « Attention collision » alors que j’étais déjà arrêté derrière un camion-poubelle. J’ai cru qu’elle allait prendre ma place au volant… Allez hop ! Tu restes maître du jeu sinon c’est carton assuré.
Design et restylage 2025 : un style affirmé
Extérieur : nouveaux boucliers, jantes 19-21’’ et Parametric Pixel Lights

Alerte restylage discret mais efficace ! Pour 2025, la Hyundai Ioniq 5 se refait le portrait sans tomber dans le fake tuning : nouveaux boucliers avant et arrière qui élargissent la bête, spoilers redessinés pour plus de gueule, jantes inédites en 19 ou 21 pouces qui claquent (mais nique ton budget pneus si t’es joueur). Côté couleurs : le Gravity Gold Matte débarque, façon lingot sur quatre roues – t’aimes ou tu détestes, mais ça fait tourner des têtes. Le clou du spectacle ? Les Parametric Pixel Lights à LED à l’avant : pur délire geek, chaque pavé s’illumine façon pixels d’une console rétro sur les quais parisiens la nuit. Les designers étaient clairement plus inspirés que d’habitude…
Intérieur : matériaux recyclés, réglages des sièges lounge
Hyundai sort l’artillerie lourde côté éco-responsabilité : chaque Ioniq 5 contient du plastique PET recyclé à hauteur de 39%, soit plus de trente bouteilles planquées dans les selleries et les plafonniers. Les fils sont bio-sourcés ou en laine naturelle. Même le cuir est tanné sans produits crados, merci les extraits végétaux coréens ! Plancher plat et sièges lounge qui se règlent au millimètre près – ambiance canapé Netflix garanti même après une nuit blanche sur Bornes Parisiennes. Clairement pas du greenwashing à deux balles comme chez certains voisins germaniques.
Finition N Line : look sportif sans exploser le budget
La finition N Line débarque genre runneuse prête pour une baston au feu rouge, mais sans t’exploser la CB comme la vraie version N. Le surcoût en France ? Compte 1 200 € d’écart face à une Executive (exemple : Propulsion Executive 57 800 €, N Line 59 000 €, AWD HTRAC Executive vs N Line : +2 000 €). Jupes latérales bodybuildées, inserts noirs partout et volant sport : pas besoin de vendre un rein ni ton abonnement kebab de quartier.
Perso… je préfère claquer le reste du budget en pneus neufs et sandwichs sauce blanche après chaque burn !
Fiabilité, rappels et coûts d’entretien : ce qu’il faut savoir
Pannes recensées, mises à jour OTA et garantie Hyundai
Hyundai Ioniq 5, c’est pas la reine de l’atelier mais elle a aussi ses humeurs ! Sur les forums, y’a eu quelques sueurs froides côté moteur ou électronique (panne inverter ou écran central qui part en sucette), mais rien d’une série noire façon marque allemande des années 2010. Le plus fort ? Les mises à jour OTA te corrigent souvent le bazar sans repasser par la case garage, surtout pour l’inverter ou le soft batterie.
Garantie maison solide : 8 ans sur la batterie, 5 ans tout compris kilométrage illimité – t’as de quoi rouler sans trembler jusqu’à la retraite (ou presque).
Rappel freinage LFB sur la 5 N : faut-il flipper ?
Le bug du Left-Foot Braking sur Ioniq 5 N a fait jazzer : une histoire de logiciel qui pouvait faire pédaler dans la semoule lors des freinages sportifs. Hyundai a vite rectifié : passage en concession pour reprogrammation du module de freinage – prise en charge gratos, pas besoin de se ronger les ongles tant que la mise à jour est faite. T’attends ton café pendant qu’ils branchent leur valise, et terminé ! Si t’ignores le rappel par contre… là oui, carton possible sur circuit.
Assurance, pneus 19/21’’ et révisions : le coût annuel
L’assurance tous risques pour un Ioniq 5 tourne entre 600 et 1000 €/an en France (si t’as pas fait sauter trop de radars) d’après les comparateurs récents. Les pneus ? Pour les fous du Pilot Sport EV Michelin en 21’’, compte 350 € pièce !! – à ce prix-là, tu réfléchis avant chaque burn au feu vert. Les révisions sont légères (pas de vidange moteur ni embrayage), mais surveille bien batterie auxiliaire et filtres habitacle tous les deux ans minimum. Perso… je garde toujours un billet planqué pour quand ça tombe tout d’un coup !
Comparatif : Hyundai Ioniq 5, Tesla Model Y et Kia EV6
Prix, bonus et valeur à la revente
Modèle | Prix catalogue (France 2024) | Bonus éco déduit (jusqu’à fin nov.) | Valeur estimée après 3 ans/60 000 km |
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Hyundai Ioniq 5 | ~52 000 € (Propulsion) | ~47 000 € | ~32 500 € (62 %) |
Tesla Model Y | ~45 990 € (Propulsion) | ~40 890 € | ~33 000 € (72 %) |
Kia EV6 | ~48 990 € (Air Active) | ~43 890 € | ~28 500 € (58 %) |
Sur la revente, la Model Y se gave avec une décote light. L’Ioniq reste solide, mais l’EV6 prend plus cher dans la tronche dès la sortie du parking.
Autonomie et vitesse de recharge
Ioniq 5 : jusqu’à 507 km WLTP (84 kWh), réel autour de 420-440 km l’hiver. Recharge ? Plateforme 800 V, tu passes de 10 à 80 % en moins de 18 minutes sur Ionity – record du segment.
Model Y : autonomie max annoncée 533 km WLTP (Long Range), compte plutôt 430-450 km réels. Recharge ultra-rapide mais plafonnée à 250 kW sur Supercharger, soit 25 min dans le meilleur des cas pour le même exercice.
Kia EV6 : très proche de l’Ioniq car même plateforme E-GMP ; jusqu’à 528 km WLTP, réel un chouïa sous l’Ioniq. Recharge aussi rapide (18-20 min).
Moralité ? L’avantage recharge, c’est coréen. Mais côté réseau, Supercharger Tesla reste le roi du bitume… tant que t’as pas une queue d’1h au péage sur l’A7. Allez hop !
Vie à bord, technologie et agrément de conduite
Ioniq 5
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- Espace royal aux jambes arrière, plancher plat XXL 🦵
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- Modularité/banquette coulissante/confort lounge 😎
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- Double écran lisible, ambiance design futuriste 👍👍👍
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- Volume coffre perfectible vs Model Y
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- Quelques bugs tactile/haptique quand ça caille dehors
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- Suspension ferme avec grosses roues = tape fesses en ville parfois
Kia EV6
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- Look sportif, position de conduite plus basse 🚗
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- Dynamisme supérieur sur routes sinueuses 👍👍
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- Interface épurée/ergonomie claire
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- Moins spacieux à l’arrière que l’Ioniq malgré les cotes proches,
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- Coffre petit pour le segment,
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- Finition un cran sous le Hyundai selon certains essais.
Tesla Model Y
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- Volume coffre géant, habitacle lumineux grâce au toit vitré 🌞
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- Réseau Supercharger qui t’envoie partout sans stress 👍👍
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- Système infotainment fluide et MAJ fréquentes
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- Finition plastique cheap,
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- Ergonomie « tout tactile » pas faite pour les nerveux,
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- Confort amortissement rustique sur longs trajets.
Évaluations :
Ioniq 5 : 👍👍👍 EV6 : 👍👍 Model Y : 👍👍
Verdict et conseils d’achat
La Ioniq 5, c’est la claque électrique : look à part, techno de folie, recharge record, zéro blabla.
Si tu veux de l’espace XXL sans le côté fourgon, la Ioniq 5 reste imbattable pour une famille ou un gros rouleur. La version 84 kWh Propulsion décroche le bon mix autonomie-conso : parfaite pour papa-maman-et-les-gamins (et même les beaux-parents qui squattent !). Pour ceux qui veulent claquer des runs et faire tourner les têtes en ville, la N te file la baffe qu’aucune berline de papa ne donnera. Certes, y'a mieux en décote (coucou Model Y) mais niveau ambiance intérieure, modularité et plaisir recharge-ionity, Hyundai va droit au but.
Quelques bugs d’infotainment ou le prix des pneus peuvent piquer mais sur le marché 2025, ça reste LE choix du pragmatique énervé. Perso… je rebranche et je repars.