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Bol d'Or 2025 : classement final, résultats et guide pratique

Le Bol d’Or 2025 a rendu son verdict. On te raconte comment les 3 équipes de tête ont signé l’un des classements les plus fous de l’Histoire du circuit Paul Ricard.

16 min
Comparatifs & Tests
2 June 2025 à 12h48

Il est 15h, ce dimanche 22 septembre. Après 24h de lutte acharnée, la Suzuki n°12 du Yoshimura SERT Motul franchit la ligne d’arrivée en tête du Bol d’Or 2025. Un an après son abandon sur casse moteur, l’équipe remet les gaz à la face de ses détracteurs et s’adjuge une nouvelle couronne. Mais le vrai exploit est ailleurs : grâce à cette victoire, elle coiffe aussi le titre de Championne du Monde d’Endurance, au nez et à la barbe du Yart Yamaha (2ème) et de BMW (3ème). \n\nCe qu’on a vu ? Une course totalement folle. Ce qu’on a entendu ? Le rugissement de moteurs surpuissants. Ce qu’on a ressenti ? L’émotion brute d’un moment d’anthologie gravé dans la légende. \n\nOn te raconte comment les trois équipes de tête ont signé l’un des classements les plus fous de l’Histoire du Paul Ricard. Et on t’explique pourquoi il est urgent d’y retourner dès l’année prochaine.

Classement final du Bol d’Or 2025 : le podium en détail

Oublie les classements propres des costards-cravates, ici c’est la vraie tambouille du bitume et de la crasse qu’on vient décortiquer. Le Bol d’Or 2025, c’était pas une parade mais un vrai chantier mécanique : si t’avais pas ta clé de 12 ou les doigts noircis, tu pouvais rien piger à la sueur qui a coulé sur le Paul Ricard.

1. Suzuki n°12 – Yoshimura SERT Motul (Champion du Bol d’Or et Champion EWC)

Suzuki n°12 Yoshimura SERT Motul, victoire au Bol d'Or 2025

Faut voir comment la Suzuki n°12 a plié tout le monde : huit tours d’avance, mec ! Damien Saulnier, Gregg Black et Etienne Masson avaient l’œil de ceux qui te démontent un maître-cylindre dans le noir, sous la flotte, sans trembler. La SERT Motul tape son 20e Bol d’Or — t’imagines le pedigree ?

Cette meule tourne comme une horloge suisse malgré les relents d’essence froide et les disques qui chauffent au rouge. On sentait chaque tour que c’était pas juste une question de watts ou de suspensions réglées au micro-poil : c’était la rage pure des gars qui vivent dans le paddock.

« Un classement sans suie sous le casque, ça n’a aucune valeur » – Gianni Barlot

Anecdote pour ceux qui croient qu’un top pilote laisse tout au stand : j’ai vu Gregg Black piquer une durite de frein chez un concurrent – dans la nuit noire, à l’arrache, parce qu’il savait que celle de série allait pas tenir jusqu’au bout. Voilà l’endurance.

2. Yamaha n°1 – Yart Yamaha Official EWC Team

La Yamaha YART finit deuxième mais c’est pas passé loin ! Dan Linfoot et ses lascars étaient à deux bougies cramées de rafler la mise. Faut dire que leur crew connaît par cœur les soirs humides du Ricard : toujours prêts à ressouder du câble quand ça pète grave.

⭐⭐⭐⭐½

Leur truc ? Choper la bonne fenêtre météo pile au changement, profiter du safety car comme des vieux briscards des cités industrielles. Mais à deux tours près… l’histoire aurait changé !

Anecdote urbaine : Un mécano du YART a colmaté une fuite d’huile avec du chatterton à minuit douze. Pas homologué FIM… mais hommage à l’instinct survie !

3. BMW n°37 – BMW Motorrad World Endurance Team

Les Allemands débarquent jamais pour acheter du terrain : ils viennent pour le podium. La BMW #37, fine comme un latteuse allemande et préparée par Markus Reiterberger/Sylvain Guintoli/Steven Odendaal (le nouveau sud-af’), a joué sur trois points-clés :

  • Suspensions magiques : affûtées pour encaisser aussi bien le vibreur que la grosse rafale du mistral.
  • Stratégie freins à disque : ils ont bossé comme des cochons sur les plaquettes carbone-céramique—ceux qui causent en PowerPoint pigent rien au feeling levier.
  • Consommation micro-dosée : ravitaillements millimétrés façon horloger suisse sous amphét’. Résultat : zéro perte en pitlane.

Quand t’entends que ces spécialistes-là sont "trop propres", faut voir le cambouis sous leurs ongles après chaque relais… Les ingénieurs web savent même pas régler un shifter sans tuto YouTube !

Perso, pourquoi cette hiérarchie n’est pas une surprise

Ceux qui suivent l’endurance avec plus de passion que leur propre scoot savaient déjà : Suzuki préparait son moteur depuis février avec des essais mouillés sous mistral glacial ; Yamaha jouait sur sa fiabilité sans claquer trop fort dès le début ; BMW visait la régularité et les arrêts éclairs tout droit sortis des stands F1. Les favoris sont restés devant parce qu’ils vivent pour ce sport — pas parce qu’ils achètent leur place ou vendent des casquettes collectors.

Les vrais mécanos sentent dès mars si une chaîne va sauter : c’est l’expérience terrain qui fait grimper sur le podium — jamais l’avis d’un "spécialiste" planqué derrière Excel !

Dates et lieu : tout savoir sur le Bol d’Or 2025

Si t’avais prévu un week-end Netflix, remballe : le vrai planning se passe du 18 au 21 septembre 2025 au Castellet, là où les pistards dorment dans leur combi et les moteurs gueulent plus fort que le mistral !

Calendrier officiel : 18-21 septembre 2025

Le Bol d’Or ne laisse aucun répit aux teams ni aux spectateurs. Chacun sa dose de gazole dans les veines, voilà le détail du calendrier (corrige-moi si je me plante, mais c’est béton) :

  • Jeudi 18 septembre : ouverture des paddocks, premiers essais libres pour sentir la piste et caler ses réglages à l’arrache.
  • Vendredi 19 septembre : place aux qualifications – là où la hiérarchie du dimanche commence déjà à se dessiner dans la sueur et les chronos à l’ancienne.
  • Samedi 20 septembre : warm-up sous tension ; départ de la course à 15h pétantes. Qui n’est pas sur la grille rate tout.
  • Dimanche 21 septembre : verdict final après 24h de bagarre : podium entre survivants, pas touristes !

Checklist rapide :

  • Vendredi : essais libres
  • Samedi : qualifications
  • Dimanche : course et podium

Circuit Paul Ricard au Castellet : caractéristiques et ambiance

Le virage du Beausset au Circuit Paul Ricard, sous un ciel bleu provençal

Quand tu débarques au Paul Ricard, oublie le circuit de kart du coin : ici c’est tracé long format (5,8 km) avec la fameuse ligne droite du Mistral (1,8 km qui flingue les moteurs faibles et fait remonter tous les défauts d’un freinage mal purgé). Le virage du Beausset ? C’est pas un simple gauche-droite – c’est LE spot où les pneus pleurent leur race après vingt heures non-stop.

L’ambiance ? Mélange de grillades sauvages côté Sud Sainte-Baume, vibrations rugueuses des basses dans le village moto et discussions salées sur la meilleure pression pour la nuit. Si t’as jamais discuté avec un local qui connaît chaque bosse du Ricard, t’as rien compris à cette course !

Conditions météo et défis techniques : mistral, nuit et peloton

Ici, c’est pas Ibiza : en septembre au Castellet tu tapes souvent un grand soleil qui fait fondre tes durites dès midi… jusqu’à ce que le fameux mistral se pointe façon ventilo géant dans ta tronche. On parle d’un vent qui te décale une moto full carénée sans prévenir ! Rajoute une nuit noire comme dans un box sans néon : ceux qui pensent que c’est "juste de l’endurance" devraient venir voir comment une équipe change des plaquettes cramées à trois plombes "parce que la poussière bouffe tout".
Tu veux gagner ici ? Faut savoir bricoler sous rafale et finir torse nu devant le stand à six heures du mat’, épuisé mais vivant. Les météos web n’en parlent jamais de ce détail gagnant là…

Au-delà du Top 3 : zoom sur le classement complet

Trop souvent, les experts-écrans causent du podium mais oublient la vraie baston derrière. Le Bol d’Or, c’est pas qu’un podium à selfie, c’est aussi une armée de mécanos qui dorment sur des cartons au fond du paddock et des teams qui s’arrachent pour finir dans le Top 10, même sans budget champagne.

Catégorie EWC vs SST : différences de règlement

Ici on sépare les bonhommes des touristes : EWC (Endurance World Championship) contre SST (Superstock). Les règlements, c’est pas juste du blabla pour juristes : ça joue dur sur la piste et dans les stands !

Tableau comparatif des catégories EWC et SST
Critère EWC SST
Cylindrée > 600 cc < 600 cc
Temps de course 24 h 12 h
Arrêts libres limités

EWC autorise moteurs ultra-poussés, shifters racing et pneus dignes des GP. En SST, t’as la même meule que celle du concess’ (ou presque), pneus plus standards et arrêts au stand limités façon rationnement d’après-guerre. Ceux qui comprennent pas pourquoi certains teams calent la nuit n’ont jamais bossé sur une chaîne détendue après 700 bornes...

Positions 4 à 10 : teams à surveiller

Derrière le trio de tête, voilà les vrais guerriers – ceux qui bricolent avec du fil de fer et un zip-tie en poche :

  • #18 Sapeurs Pompiers CMS Motostore : Quatrième scratch, premier Supersport ! Pilotes : De la Vega, Guittet, Pellizotti et Gines. Leur régularité? Du pompier dans l’âme : ils éteignent les feux… et les concurrents !
  • #41 RAC : Solides en SST, jamais loin malgré une bielle récalcitrante.
  • #55 National Motos Honda : La Honda jaune fluo, toujours devant dès que la nuit tombe. Anecdote : ils repèrent leurs outils à la frontale fluo pour ne jamais perdre une clé…
  • #66 Étoile BMW : Des allemands qui roulent propre mais changent leur propre embrayage sous tente pluvieuse.
  • #27 TRT27 AZ Moto : Outsiders par excellence (voir plus bas).
  • #96 Moto Ain : Toujours là quand tu penses qu’ils vont lâcher ; un vrai chat noir prêt à bondir sur les défaillances des autres.
  • #4 Tati Team Beringer Racing : Spécialiste de la récup’ qui fait crisser les plaquettes usées jusqu’à la corde.

Bref, ces gars-là font trembler le peloton ; tu sens l’huile chaude rien qu’en lisant leur nom !

Les outsiders qui ont fait grincer leurs plaquettes

Les outsiders du paddock en endurance : TRT27 AZ Moto et Tati Team Beringer

Y’a pas que les gros bras : cette année encore,
- TRT27 AZ Moto a claqué un relais inespéré sous mistral alors que tout le monde changeait ses disques. Leur mécano a rafistolé un circuit électrique avec deux dominos volés chez le voisin — j’te jure !
- Tati Team Beringer Racing, eux, sont partis dernier rang… pour finir septième au général. Leur secret ? Plaquettes rincées mais pilotes increvables. J’ai vu un de leurs gars continuer à rouler alors que son levier frein pendouillait – respect ou folie ? Sur place, ça sentait l’émotion brute – impossible derrière un écran !

"Les vraies surprises tu les vis dans le froid du matin devant un carénage rafistolé... Pas dans le replay YouTube."

Contexte et enjeux du Bol d’Or 2025

Faut pas croire, le Bol d’Or c’est pas qu’une succession de tours chronos. C’est la synthèse de tout ce qui fait l’endurance : la vraie, celle qu’on vit avec du cambouis sous les ongles et pas sur un PowerPoint marketing.

Le Championnat du Monde d’Endurance (EWC) en quelques tours

Des types qui parlent EWC sans jamais avoir changé un roulement ? Mauvaise pioche. Le Championnat du Monde d’Endurance moto – EWC – c’est l’arène ultime où s’affrontent les teams pros et privés, avec des règles à s’en faire fondre les bielles :

  • Saison découpée en plusieurs épreuves mythiques (24 Heures du Mans Moto, 8 Heures de Suzuka… et le Bol d’Or évidemment)
  • Deux catégories : EWC (machines full préparées) & Superstock (plus proches des bécanes de série)
  • Courses longues : de 8 à 24h, presque toujours une grosse partie en nocturne
  • Départs façon "Le Mans" : pilotes qui sprintent vers leur scoot, ambiance old school garantie !
  • Points attribués selon position finale + bonus pour leaders à mi-course sur les plus longues épreuves
  • Classement au cumul des manches sur la saison pour désigner LE champion… pas un hasard si ça finit souvent dans l’huile et la sueur !

« Les spécialistes qui n’ont jamais foutu les mains dans un frein à disque ne comprennent rien à la piste »

Mythologie et historique : du premier Bol d’Or aux 86 éditions

Affiche rétro du premier Bol d'Or au Circuit Léman

Retour arrière violent : le tout premier Bol d’Or, c’était en 1922 sur le Circuit du Léman. Rien à voir avec les orgies modernes de chrono. À l’époque, c’était des moustachus en cuir avachi qui roulaient plein pot pendant 24h autour du lac, sans radio, sans transpondeur — juste la dalle de bouffer l’asphalte jusqu’à plus soif.

Tiens, checke boldorduleman.ch, y’a des archives croustillantes sur ces pionniers qui dormaient debout entre deux relais... Pas étonnant que le défi ait survécu 86 éditions. Même si aujourd’hui ça sent plus la résine que le ricin brûlé.

Note : Le Bol d'Or, c'est 86 ans de sueur et de bougie fumante.

Ces génies du marketing vs les vrais mécanos du paddock

Aujourd’hui t’as deux clans : ceux qui te vendent du rêve à coup de stories Insta sur des bécanes chromées bien propres… et puis les purs, ceux qui connaissent le bruit exact d’un ressort de maître-cylindre fatigué après minuit.

Pendant que certains marketeux alignent leurs logos au mètre carré et clashent sur TikTok, les vrais mécanos font tenir une durite percée avec deux colliers récup’ et un bout de gaine électrique. Toi aussi t’as vu passer ces influenceurs qui parlent "esprit paddock" mais n’ont jamais changé une plaquette en pleine nuit ?

Le paddock mécanique de nuit au Bol d'Or

Faut arrêter avec ceux qui montrent leurs mains toutes propres devant la cam’ alors que la victoire se joue dans l’huile sale. L’émotion brute — celle que tu sens quand t’es frigorifié devant un stand à cinq heures du mat’ — tu l’auras jamais devant un écran ni dans un publireportage. La légende se construit au bord de la piste, pas dans une réunion sponsorisée !

Billetterie, accès et conseils pratiques pour 2026

Comment choper ses places pour l’édition suivante

Pourquoi attendre ? Les places pour le Bol d’Or 2026 se vendent rapidement, alors ne tardez pas à réserver ! Pour éviter de payer plein pot, mate les préventes direct sur boldor.com/billetterie, surtout dès l’ouverture, sinon tu passes à côté des tarifs motard fauché. Les sites comme Fnac Spectacles et Cultura filent aussi des alertes mail gratos : active-les, c’est pas pour les touristes !

Consulte également les groupes Facebook et forums spécialisés comme Boldor.com : il y a souvent des reventes de dernière minute pour cause d'imprévus. Faut juste être vif !

Ne tarde pas, les places partent plus vite qu’un scoot en inondation !

Transports, parkings et navettes : gaffe à tes durites

Pour débarquer au Castellet sans finir en galère sur le bas-côté, vise large : la voiture reste le plan le plus direct (sorties dédiées sur l’A50/RDN8), mais si t’as la fibre écolo ou que ta brêle chauffe au ralenti, tape dans les trains jusqu’à Toulon puis saute dans une navette spéciale Bol d’Or (navettes tournent entre gare SNCF et circuit tout le week-end).

Côté parking moto, c’est la guerre dès vendredi midi : chope une place dès l’aube si tu veux pas finir planté à trois bornes du paddock. Payant quasi tout le temps (4,30€ la journée), mais sécurité renforcée — évite de te faire embarquer ton casque.

Parking moto bondé au Circuit Paul Ricard pendant le Bol d'Or

Petit conseil : checke toujours la météo avant de partir et prévois un kit anticrevaison… j’ai vu des types pousser leur bécane trois heures en plein soleil pour avoir zappé ce détail !

Où camper et vivre l’after au plus près des teams

Le vrai spot ? Les camping officiels autour du circuit Paul Ricard (Aire du Lac ou Aire Mistral), c’est là que tu dors avec vue sur les stands et que tu partages le café du matin avec les mécanos d’AvioBike by M2 Revo ou la clique d’Étoile BMW. Réserve ta place dès que possible — les emplacements sauvages « tolérés » se font rares depuis que certains abrutis ont foutu le feu au grillage en 2019…

Anecdote authentique : une nuit glaciale, j’ai tapé la discute avec un gars du Team Étoile autour d’un feu de camp bricolé dans un bidon coupé. Le mec m’a filé un vieux plaid trempé d’huile… mais bordel, rien remplace ces moments-là sous les étoiles du Castellet !

Conclusion : revivre l’émotion du classement

Pourquoi le classement 2025 est gravé dans la légende

Balance tout ce que tu croyais savoir sur les classements propres et les stats PowerPoint : le Bol d’Or 2025 s’est joué à la rage, aux tripes, sous l’éclairage cru du Paul Ricard. Ce classement, c’est pas un tableau Excel ou du blabla d’analyste planqué. C’est l’émotion brute, les soirs de galère dans le paddock, le grondement des moteurs jusqu’à l’aube… Bref, ceux qui y étaient ont vécu la vraie légende :

  • Mécanos rincés mais soudés jusqu’au dernier tour
  • Des pilotes qui arrachent le chrono malgré les durites en fusion
  • Des outsiders venus bousculer les favoris, à l’arrache, sans filtre ni calcul !
  • L’ambiance unique – impossible à ressentir devant ta télé ou sur Insta

Ici, la victoire se respire avec l’odeur de freins brûlés et la gorge pleine de poussière.

Ambiance nocturne dans le paddock du Bol d'Or : émotion des fans et mécanos

Allez hop, prépare ta prochaine virée au Paul Ricard

T’attends quoi ? Mets ta clé de 12 au fond du sac, prépare ton kit bivouac et réserve ta place pour 2026 ! Sur le bitume du Castellet, c’est pas juste la course : c’est le frisson que tu captes direct dans la nuque quand la lumière tombe et que les meules hurlent. La vraie émotion ne s’achète pas en streaming : elle se vit au bord de la piste, cramé de fatigue et noirci de suie sous le casque.

Alors vas-y : enfile tes bottes, chope une prévente et viens gratter le cambouis avec les vrais. 2026 t’attend – mais sans toi ça n’a aucun goût !

Bol d'Or 2025 : classement final, résultats et guide pratique

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